Maison sauvage, loin de Babel ; Dariush vint
Au monde. Son père, pâtre, lui apprit à
Garder les moutons. A neuf ans, le fils cria
A la vue du cadavre d'un de leurs ovins.

Le berger, parti tuer la bête meurtrière,
Ne revint jamais, laissant Dariush aux pacages.
Nuits coulèrent, et lui, las et plein de courage,
S'en it chercher le tueur, laissant seule sa mère.

Le défunt gisait devant le pierreux repaire
D'un loup si monstrueux, et au coeur si pervers,
Qu'il ne put soutenir un regard de l'enfant.

Le mal enfin détruit, le garçon s'endormit
Près de son papa. Un grand étranger, ami,
Le porta vers le soleil couchant, triomphant.

ça y est, c'est terminé (enfin sauf peut-être deux quatre nuances que j'ajouterai ou corrigerai).