Yahva n'était plus grand chose dans son grand Carthage, elle ne respirait même plus assez fort pour qu'on pense qu'elle fût encore pleine de vie, elle n'était plus qu'un corps qu'on utilisait, usait, une femme dans laquelle les hommes jettaient leur boue de bête puis un jour, un être (uc). Elle a bravé mille et une tempêtes, errant dans des cortège de vent, elle s'est brûlé au regard du soleil, l'âme toute dépareillée. Dans une énorme tempête de sable, grosse comme un monstre, des grains, se sont hissés dans ses yeux, la changeant à tout jamais.